Recherche : appliName:"presseXIX" type:("article" OR "illustration" OR "page") ("pieds humides") AND NOT active_s:"INACTIVE"Tout droit réservé, Bibliothèque municipale de Lyon2012-08-17T12:37:47.065ZBML_01PER0030300589_32012-08-17T12:37:47.065ZLa Construction lyonnaise N°14, pp. 4 en temps. Où irons-nous, si l'on tolère que chaque cinéma lyonnais établisse une suc-cursale à demeure sur nos espaces libres ! Il n'est pas jusqu'à un piedhumide qui allonge saBML_01PER0030300339_12012-08-16T09:39:02.890ZLa Construction lyonnaise N°15, pp. 2 ou deux bêches et les piedshumides, les endroits où l'on se baigne sont peu nombreux à Lyon, comme ailleurs. Il semblerait que l'on fait mieux à cet égard à l'étranger. Les bains, de massage et galeries, des salles de douches, chaudes et froides, avec bains de pieds, et même des bains de chiens, à l'usage de l'espèce canine, insuffisamment évoluée. La surfaceBML_01PER0030300134_82012-08-01T11:04:09.990ZLa Construction lyonnaise N°2, pp. 2 Servient, 81. Boulevard des Brotteaux, angle rue Suchet (piedhumide). Propr., M. La-vabre, rue Moncey, 163; 6 avril 189?. Cabinet de M. CADET, rue Ney. ■ Rue Janin, angle rue dePER00315027_22011-09-14T13:41:48.165ZLe Bavard de Lyon, N°11, pp. 3 plus de l'Assommoir. On l'a vue l'autre jour, à quatre heures du matin, bu-vant un mêlé-cassis, au piedhumide du quai Saint-Antoine. # Il y a eu, vendredi dernier, grand festin chez'essen-tiel est que cène soit pas un homme. Laissez-moi le dire : cette mode est ridi-cule. Et je ne n'ai que du dégoût pour, ces lèvres de femmes, si roses, si pures, si vermeilles, humides desPER00319791_22011-09-14T13:40:29.134ZLe Bavard de Lyon, N°11, pp. 3, bu-vant un mêlé-cassis, au piedhumide du quai Saint-Antoine. * Il y a eu, vendredi* dernier, grand festin chez Annette la Licheuse. Le Champagne a coulé à flots. Au dessert, on a homme. Laissez-moi le dire : cette mode est ridi-cule. EfAje ne n'ai que du dégoût pour ces lèvres de femmes, si roses, si pures, si vermeilles, humides des caresses léchées parlePER00319788_22011-09-14T13:39:41.048ZLe Bavard de Lyon, N°8, pp. 3 tenu. Cours forcé. Très-lourd, ci Léger. Si J. RICHARD. m MOEURS LYONNAISES r, fa LES PIEDSHUMIDES \\ Chez la mère Pinet (quai des Célestins) , i i m Chaque pays a ses coutumes-J faisants abris? Et ce ne sont pas seulement les lyonnais qui doivent apprécier l'utilité dw piedshumides, ce sont surtout Jes ma/* raichers et marâiohèros qiii, levés bien avant le jourPER00315024_22011-09-14T13:39:40.916ZLe Bavard de Lyon, N°8, pp. 3. Victorine. Bien tenu. Fonfon. Cours forcé. RositaBébd. Très-lourd. Tonine Françon. Léger. J. RICHARD. ,PIEDS" HUMIDES ; Chez la mère Pinet (quai des Cëlestins tolérés,d'utilesétablisssements, très justements baptisés : Les Piedshu-mides. c Quel est le lyonnais, artiste ou gratte pa-^ pier, journaliste ou étudiant, cocher de fiacre ou employéPER00315024_02011-09-14T13:39:25.883ZLe Bavard de Lyon, N°8, pp. 1W»P. 12. Les piedshumides,.., »-DE UTÛUfl. 13 Portrait mondain.... EMILE BRQISSAY. 14. Revue delà mode.... ■" RAYMONBE. 15. Balivernes L-MASSIN. 16. Théâtres D0RSAY. 17. Charade trouva Poujeard. Ce jour là, M" 3 de Lagrevol fut l'ange accusateur de Pru-d'hon ; la torche en feu, d'une main, il traî-nait, de l'autre, le misérable aux pieds de ses juges. CettePER00319788_02011-09-14T13:39:25.848ZLe Bavard de Lyon, N°8, pp. 1(D'Dvs-GBANOES) DAUBRUCK. S 9. Ce que j'aime BE SAINT-SOT 10. A couse-qui nous lisent \ peu...... L. AUGÉ-BRION. 11. Bourse de Cythère J. RICHARD. 12. Les piedshumides.... A-DE LATOUR. ! 13. Portrait-a, pérô ; il trouva Poujeard. Ce jour là, Me de ff Lagrevol fut l'ange accusateur de Pru-»j d'hon ; la torche en feu, d'une main, il traî-w Haie, de l'autre, le misérable aux pieds de veBML_01PER0030216471_12011-07-31T13:38:48.952ZLe Censeur : journal de Lyon, politique, industriel et littéraire, N°1606, pp. 2'arrondir. Affronter les frimas, toujours les piedshumides; Dans un fossé fangeux laisser ses deux sabots ; Braver mille dangers, toux et fièvres putrides ; Pour dénicher un nid, mettre lout en rendant à pied de Vernaison à Lyon en suivant le chemin de fer, fut prévenu par un antre voyage" qu'une machine approchait. Plein de confiance en son agifité-il ne tint aucun compte de